Voici quelques unes des lectures qui nous attendent dans la Rentrée littéraire Automne 2025
... et dont je vous reparlerai bientôt !
Plus de 1.000 lectures chroniquées ici depuis 2006
« [...] Je ferai tout pour retrouver ses assassins et la venger.
[...] Il sait qu’il va s’engager dans un combat à mort contre ceux qui ont tué ses amis. »
Pour celles et ceux qui aiment l'Afrique.
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Livre lu grâce à NetGalley et aux éditions Fayard (SP).
Ma chronique dans les revues Benzine et ActuaLitté.
« [...] Au mauvais endroit au mauvais moment. Il croyait s’être préparé au pire mais rien ne lui sera épargné. Même ce qui n’arrive jamais, ou ce qui n’arrive qu’aux autres, lui tombe dessus. Ici et maintenant. »Vers 14h30, juste avant les premiers coups de feu, il y a là moins d'une douzaine de personnes.
Pour celles et ceux qui aiment les balles perdues.
D’autres avis sur Bibliosurf et Babelio.
Livre lu grâce à La Manufacture de Livres (SP).
Ma chronique dans la revue ActuaLitté.
« [...] De nouveaux sommets. Et derrière, encore d’autres montagnes. Le Sarek était si terriblement vaste, et si terriblement silencieux. Terrible, au sens propre : qui inspire la terreur. Et nous allions continuer à nous enfoncer dans ces terres sauvages. »
Pour celles et ceux qui aiment la rando.
D’autres avis sur Babelio et Bibliosurf.
Ma chronique dans le revue Actualitté.
« [...] - Allez l'arabe ! Au boulot !- Pas arabe. Kurde.- Ouais, c'est pareil. Au boulot ! »
« [...] - Tu pas aimer artistes ?- Leçon du jour mon gars ...Si tu veux pouvoir profiter d'un des rares terrains vagues qui existent encore, ne laisse JAMAIS les artistes s'y installer !Les artistes, c'est l'avant-garde de la bourgeoisie ! »
Pour celles et ceux qui aiment les chiens et les SDF.
D’autres avis sur BD Gest, Bdthèque et Babelio.
Album lu grâce aux éditions Bamboo / Grand Angle (SP).
Ma chronique dans les revues Benzine et ActuaLitté.
« [...] J’attends de recevoir une balle. Je ne sais pas d’où elle viendra, par quelle gâchette elle sera tirée, ni à quel moment. Je ne crois pas avoir de véritable ennemi qui voudrait m’assassiner. Ni d’ami qui pourrait m’éviter cette fin. J’attends. Je suis prêt. N’importe quand, où que je me trouve, ça peut arriver. Là. Assis à mon bureau devant la fenêtre.À mi-parcours, le récit bascule dans d'autres dimensions, d'autres perspectives. On n'en dira pas plus.
[...] La menace semble se préciser . Elle se fait plus prégnante, plus sérieuse pour ainsi dire, bien que je ne l’aie jamais prise à la légère. Elle est plus proche : oui, c’est ça, le tireur s’est rapproché et pointe son arme sur moi avec plus d’insistance. Je m'en accommode. »
Pour celles et ceux qui aiment les coups tordus.
D’autres avis sur Bibliosurf et Babelio.
Livre lu grâce aux éditions Le Dilettante (SP).
Ma chronique dans les revues Benzine.
« [...] Ces canuts ne correspondaient pas à l'image que je m'étais faite du prolétaire d'après "Germinal" : propriétaires de leurs métiers à tisser, ils devaient avoir des connaissances techniques assez poussées pour les faire fonctionner, les réparer, les perfectionner au besoin.Éduqués, tenant leur propre journal et se réunissant régulièrement, ils n'avaient pas besoin qu'un chef venu d'ailleurs les secoue pour prendre conscience de l'injustice. Leurs revendications, exprimées haut et fort, menaçaient le pouvoir en place. »
Pour celles et ceux qui aiment les canuts de Lyon.
D’autres avis sur Bibliosurf et Babelio.
Livre lu grâce aux éditions Le bruit du monde (SP).
Ma chronique dans les revues Benzine et ActuaLitté.
« [...] Nous ne parlions pas du fait que nous avions le sentiment de vivre avec un fou. Pourtant depuis des années, le soir, sous nos yeux, Jacques allait se coucher, une carabine à l’épaule. Parce qu’il était persuadé que des gens pouvaient venir nous attaquer la nuit. »
« [...] Nous nous étranglons de rire en silence pour ne pas que notre mère nous entende, nous rions comme des hyènes en frappant la table, nous en tombons presque de nos chaises, nos larmes ruissellent. »Au lecteur le soin de juger si ces larmes sont de joie ou de désespoir. Ou d'un peu des deux.
Pour celles et ceux qui aiment la famille.
D’autres avis sur Bibliosurf et Babelio.
Livre lu grâce aux éditions de L'Olivier (SP).
Ma chronique dans les revues Benzine et ActuaLitté.
« [...] C'est un peu tôt pour déjeuner ... mets-nous trois bières, Marlène ... et un rillettes-cornichons pour moi, pour accompagner quoi ... »➔ Côté dessin, c'est un méticuleux travail de reconstitution que Julien Telo a entrepris, photos à l'appui. Le cahier explicatif en fin d'ouvrage montre même le parallèle entre des images d'époque et les planches que le dessinateur en a tirées.
Pour celles et ceux qui aiment les années 50-60.
D’autres avis sur BD Gest, Bdthèque et Babelio.
Album lu grâce aux éditions Casterman (SP).
Ma chronique dans les revues Benzine et ActuaLitté.
« [...] - Et qu'est-ce que tu vas faire pendant des vacances ? T'en as jamais pris de ta vie !Ça fait bien 20 piges que tu as le cul vissé sur cette chaise toutes les nuits. Le nez dans tes dessins.- Je pars en Alaska ![...] Je vais faire un trek. L'Alaska, le Klondike, le bout du monde quoi. »[...] Je vis au même endroit depuis bientôt 28 ans. Je n'ai jamais vu la tête de mes voisins. Je n'ai jamais dit bonjour à mon facteur. Je ne sais même pas à quoi il ressemble. Je vis dans un quartier que je ne connais pas. [...] Une vie de hibou. »
Pour celles et ceux qui aiment faire le tour du monde ou de leur quartier.
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Album lu grâce aux éditions Vents d'Ouest (SP).
Ma chronique dans les revues Benzine et ActuaLitté.
Pour celles et ceux qui aiment Lyon et les tatoués.
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Livre lu grâce à la Manufacture de livres (SP).
Ma chronique dans les revues Benzine et ActuaLitté.
« [...] – Qu’est-ce que vous avez foutu quand vous avez arrêté Natan ? demanda-t-elle d’un ton accusateur. Comment vous avez pu bâcler l’enquête à ce point ?– Comment on a pu ? soupira Konrad. Si seulement la réponse était simple. »
« [...] – J’avais oublié ce détail.– Lequel ?
– À quel point vous êtes insupportable, répondit Dagmar en se levant pour lui indiquer la sortie. Mais maintenant je m’en souviens. Vous passiez votre temps à poser des questions sans intérêt. Et à fouiner dans des affaires qui ne vous concernent pas. Je vois que ça n’a pas beaucoup changé.
[...] – Vous cherchez quoi, au juste ? demanda Sveinb-jörn.– Un mensonge, répondit Konrad sans hésiter. Je cherche un mensonge. Il y a forcément des gens qui ont menti dès le début dans cette enquête.
[...] – J’ai préféré attendre.
– Vous avez peut-être attendu assez longtemps.
– Peut-être, répondit Ivan. J’ai peut-être attendu assez longtemps… »
« [...] À cause de l’armée. Des troupes américaines. Je les détestais. Je ne supportais pas leur présence en Islande. J’ai grandi dans cette haine. Dans cette hostilité. On m’a toujours dit qu’on devait s’opposer à la présence des soldats américains. »Il y a l’espionnite à laquelle se livrent soviétiques et américains, utilisant les islandais comme des pions sur l'échiquier mondial, à l'époque où certains « avaient tourné le dos au socialisme après leur séjour au pays des lendemains qui chantent ».
« [...] – Vous devriez aller discuter avec le Comité d’exportation du hareng, avait conseillé le fonctionnaire des Affaires étrangères lorsqu’ils s’étaient séparés à la Bibliothèque nationale.– Le Comité d’exportation du hareng ? s’était étonné Konrad.
– À mon avis, c’est une bonne idée. Ce comité était le seul organisme islandais à se rendre régulièrement à Moscou pour signer des accords concernant le hareng avec les Russes. Si j’enquêtais sur une affaire d’espionnage dans notre camp, je commencerais par là. »
Je vous parle d'un temps où l'on roulait en Lada et où les chalutiers russes croisaient au large de Reykjavík.
« [...] Il pensait à ces secrets inavouables, à cette tragédie familiale, à toute cette dissimulation et aux fausses accusations proférées.
[...] Tu l’as tué pour le faire taire. Vous avez beaucoup de mal avec la vérité dans cette famille. »
« [...] On entendait très souvent parler aux informations de touristes qui trouvaient la mort dans des accidents sur le réseau routier islandais de piètre qualité, qui s’égaraient et s’épuisaient loin dans les hautes terres inhabitées, qui tombaient d’une falaise, se noyaient dans la mer ou dans les lacs, ou qu’on retrouvait morts dans leurs chambres d’hôtel. La sécurité civile n’avait jamais eu autant de travail que depuis l’essor de l’industrie touristique.»
Pour celles et ceux qui aiment Konni.
D’autres avis sur Bibliosurf et Babelio.
Livre lu grâce aux éditions Métailié (SP).
Ma chronique dans les revues Benzine et ActuaLitté.
Pour celles et ceux qui aiment les pêcheurs.
D’autres avis sur BD Gest, Bdthèque et Babelio.
Album lu grâce aux éditions Daniel Maghen (SP).
Ma chronique dans les revues Benzine et ActuaLitté.
Pour celles et ceux qui aiment les fleurs espagnoles.
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Album lu grâce aux éditions Grand Angle (SP).
Ma chronique dans les revues Benzine et ActuaLitté.